Les troubles du déficit de l’attention sont un spectre complexe de situations particulières. Leur étiologie et leur diagnostic sont souvent confus. Ainsi, un certain nombre d’enfants diagnostiqués d’hyperactivité souffrent en réalité d’autisme léger.
Inversement, certains enfants diagnostiqués autistes ne souffrent en réalité que de trouble de déficit de l’attention ou du syndrome d’Asperger.
Dans certains cas, le trouble du déficit de l’attention est déclenché par des facteurs externes. On pense notamment à la toxicité de l’environnement et à l’alimentation. Nous recommandons l’excellent ouvrage de Natasha Campbell-McBride, le syndrome entéropsychologique, sur ce sujet.
Néanmoins, certains chercheurs ont émis l’hypothèse d’une origine génétique de l’hyperactivité et des troubles de l’attention. Nous avons à notre tour émis l’hypothèse d’une origine épigénétique.
Découverte sur l’esprit fragmenté
Nous avons découvert que la conscience humaine est composée de différentes parties. L’une d’elle est la source de la capacité d’attention. Biologiquement, elle se présente sous une forme cristalline.
Dans certains cas, cette structure cristalline est éclatée en morceaux, et la conscience passe d’un morceau à l’autre dans le but de réunir ces parties, sans jamais réussir. Nous appelons ce problème le cristal fragmenté. En termes psychologiques, nous appelons ce problème l’esprit fragmenté.
Une personne souffrant de ce problème ne peut pas se concentrer ou se focaliser pendant plus de quelques minutes. Son attention est irrémédiablement attirée dans une autre direction.
Notre processus pour l’esprit fragmenté est efficace sur les troubles du déficit de l’attention.
Est-ce que cela fonctionnera pour vous ou votre enfant ? Prenez contact avec nous pour une évaluation personnalisée.
Témoignage
Rosalina, 40 ans, décrit son expérience :
Avant le traitement :
J’avais une personnalité vulnérable, me faisant sentir comme si j’étais pourchassée, en fuite… et j’étais très peureuse. Je ressentais comme s’il avait toujours une pression en moi, qui me rendait nerveuse et souvent paranoïaque, et comme si je voyais la réalité à travers un miroir brisé.
Sous la pression, c’était très difficile de se concentrer, et à un certain niveau je me sentais comme saoule, dispersée, pas claire. Parfois, lorsque j’étais dans cet état, j’étais submergée par mes émotions, et j’avais peur d’être folle. J’ai passé beaucoup de temps à essayer de revenir dans mon corps. Au niveau physique, j’ai fait beaucoup de travail corporel. C’était nécessaire pour moi, pour rester dans mon corps et ne pas me sentir éclatée. Je pense que c’est pour ça que je suis devenue thérapeute corporelle.
Après le traitement :
Immédiatement après, la sensation d’être pourchassée a totalement disparu. C’est facile d’être dans mon corps et de déplacer mon attention partout, sans avoir à faire de travail corporel pour rester dans mon corps. Je suis plus focalisée, centrée, et c’est facile de se concentrer. Je suis toujours une personne sensible, mais je ne suis plus contrôlée par mes émotions.
Kryon, 30 ans, après le traitement :
C’est très agréable de sentir que je peux rester à un endroit, calme et tranquille, paisible, sans avoir ce sentiment d’impatience et de devoir toujours faire quelque chose. Après le traitement, je suis passé d’un état d’impatience permanente, à un état de relaxation et de calme. Beaucoup de mes comportements ont changés après la séance, et c’est une bénédiction pour moi ! Merci.